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Rechercher : Les Rothschild et Rockefeller augmentent la pression sur Poutine

Le Nouvel Ordre Mondial passe par Damas ou l'obligation de résultat de réussite pour Poutine en Syrie !

Excellente analyse faite dans cet article qui reflète l’obligation de réussite de Poutine en Syrie, s’il veut détruire le projet d’instauration du Nouvel Ordre Mondial qui passera par la Syrie pour créer y compris, le Grand Israël et le Grand Moyen Orient.

Obligation de réussite pour Poutine, non seulement pour la Russie mais pour l'ensemble de l'humanité pour devoir éradiquer la mafia Kazahr de Rothschild et ses projets mortifères d'instauration de son Nouvel Ordre Mondial !

 

Le Nouvel Ordre Mondial passe par Damas

by Laid Seraghni / on 6 octobre 2015 at 16 h 58 min

poutine vs obama

Si la Syrie tombait, la Russie serait, en plus d’une humiliation diplomatique, menacée dans son intégrité territoriale, ce qui pourrait induire un éclatement de la Fédération de Russie. Les événements qui se déroulent actuellement en Syrie ne sont en aucun cas liés à la question de démocratisation de la société ni pour plus de liberté pour les Syriens. Il s’agit d’un ordre mondial que cherchent à imposer les États-Unis avec leurs vassaux occidentaux prédateurs à un autre monde qui, la Russie en tête, réclame plus de participation dans la gestion des affaires internationales desquelles ils ont été exclus depuis des décennies.

Le point de départ pour la nouvelle configuration géopolitique du monde passe aujourd’hui par Damas. L’avenir de la Russie s’y joue actuellement. Poutine sur la ligne de Catherine II (1) qui considérait que « Damas détient la clé de maison Russie » comprend bien que « Damas est la clé d’une nouvelle ère ». Depuis le début des contestations en Syrie, la Russie, appuyée notamment par la Chine et l’Iran, a décidé de faire échouer toutes les tentatives d’un changement de régime car elle était persuadée que si le plan des Occidentaux réussissait, elle serait confinée dans un rôle de second plan et serait menacée dans son intégrité territoriale. C’est pourquoi, dès le début de la crise, la Russie s’était montrée très ferme et s’est opposée à toute intervention militaire, et ce malgré les pressions du Conseil de sécurité, de l’assemblée générale de l’ONU et de la Ligue arabe. A chaque tentative visant la reproduction du scénario libyen ou yéménite, elle opposa un refus catégorique.

Hypocritement, les Occidentaux semblent ne pas comprendre les raisons de la position russe en avançant que Moscou avait, en Syrie, des intérêts économiques et de soutiens logistiques pour sa flotte militaire. Ce ne sont nullement les contrats d’armement passés avec ce pays, ni le port de Tartous qui sont les enjeux stratégiques russes dans la région au point de mener une lutte atroce pour éviter que l’État syrien ne tombe. Cela est confirmé en partie par le directeur du Centre d’analyse sur les stratégies et les technologies-Moscou Rousslan Poukhov, qui a déclaré : « penser que la Russie soutient Damas en raison des ventes d’armes est une aberration ! C’est totalement hors sujet ». (2)

Loin de l’instauration de la démocratie ou des libertés, c’est le rôle résistant de la Syrie qui est visé. En soutenant les mouvements des résistances palestiniennes et libanaises, la Syrie a fait avorter tous les plans américains pour la mise en place du Grand Moyen-Orient dans lequel les États arabes seront atomisés et soumis au diktat israélien. Par ailleurs, son alliance stratégique avait l’Iran a fait que l’axe hostile aux plans étatsuniens se consolide dans la région.

Pourquoi la Russie n’admettra-elle pas une victoire des prédateurs de la Syrie ? Si la Syrie venait à tomber, de sérieuses menaces pèseraient sur elle, et les plus manifestes sont :

A- AU PLAN ECONOMIQUE

Poutine sait parfaitement que pour que son pays puisse prétendre au statut de grande puissance il faut qu’au travers de son économie il renforce sa force militaire et rende sa politique étrangère plus agressive en vue d’une influence réelle au niveau mondial. Il affiche ses prétentions en disant « en d’autres termes, nous ne devrions tenter personne en nous autorisant d’être faibles. » (3).

Dans cette notion de puissance, le facteur économique est déterminant. Si l’opposition syrienne l’emportait, cela signifierait que la bataille féroce pour le contrôle des sources d’énergie tournerait en faveur des États-Unis et de leurs alliés, permettant à ceux-ci d’étendre leur influence de la Syrie jusqu’en Australie. Les implications qui en découleraient seraient : l’avortement du programme ambitieux de développement économique basé sur la réduction de la dépendance de l’économie vis-à-vis des matières premières et sur l’innovation articulée autour des hautes technologies pour devenir une grande économie mondiale.

Dans une interview à la BBC, Douglas MC Williams, Chef du Centre de Recherches Britannique (CBER), déclarait : « La Russie arrivera en quatrième position dans le classement des plus grandes économies mondiales d’ici l’horizon 2020 » (4)

Les ressources du financement de ce projet provenant essentiellement des exportations gazières seraient compromises. Les recettes de Gazprom 2011 qui contrôle plus de 80% de la production de gaz s’élèvent à 118 M $. En vue d’empêcher que ces recettes atteignent le niveau escompté,, il devient impératif, de torpiller l’exportation du gaz russe vers l »Europe à travers les gazoducs paneuropéens en projet ; le South Stream et le Nord Stream. Les pays européens devraient être approvisionnés par le gaz iranien par le Nabucco (5), gazoduc reliant l’Iran à l’Europe centrale via la Turquie. Le Qatar pourrait faire transiter son gaz pour l’Europe également par la nouvelle Syrie amie, écartant définitivement l’alimentation de ce continent par le gaz russe. Dans cette hypothèse, la Russie ne peut qu’enterrer son programme de développement, notamment son ambitieux programme militaire d’armement 2011/2020 d’armement pour l’équipement de ses forces armées pour lequel elle prévoit une enveloppe financière de 650 milliards de dollars » (6) au titre d’un programme et « 114 milliards de dollars au titre de la modernisation des équipements ». (7)

Les USA contrôleraient le Liban, la Syrie et l’Iran et, par conséquent, maitriseraient les sources d’approvisionnement énergétique situant dans un espace géographique et stratégique énergétique Liban Syrie, Irak et Iran. D’où cette lutte acharnée pour faire tomber la Syrie.

B – AU PLAN SECURITAIRE :

La chute de B. Al-Assad, ouvre la politique d’endiguement mis en place en 1946 par Georges. F. Kennan (8). Les actions d’encerclement de la Russie seront relancées. Cette stratégie, en matière de géopolitique, est fondée sur la ligne Brezinski (9) qui prévoyait la domination de l’Union Soviétique en deux étapes, l’encerclement de la Russie en premier lieu, pour ensuite passer à sa déstabilisation, pour mieux contrôler son espace périphérique. Cette stratégie est aussi valable pour la Russie d’aujourd’hui. La politique de Gorbatchev que Poutine qualifiait de « La plus grande catastrophe du XXème siècle » (10) serait de retour pour démanteler définitivement la Fédération de Russie.

Ce démantèlement induirait probablement un transfert, au nord du Caucase, des Djihadistes qui opèrent actuellement en Syrie en vue d’instaurer une république islamique. Il est rappelé que le nord du Caucase (Daghestan et Tchétchénie) est à prédominance musulmane. Doku Umarov (11) n’avait-il pas proclamé « l’Emirat caucasien. » en 2007. (12)

Un des pivots américains dans la région montrera ses crocs pour la restauration de l’Empire Ottoman. Il s’agit de la Turquie qui, base avancée des intérêts américains en Eurasie, rêve toujours d’un empire qui s’étendrait jusqu’à l’Asie centrale, ex territoires soviétiques. Une aubaine pour qu’elle étende son hégémonie jusqu’aux confins de Moscou sur les républiques turcophones qui sont l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Turkménistan, le Tadjikistan et le Kirghizistan. L’éventualité de leur intégration dans une alliance avec l’ancien occupant pourrait être envisagée. Elle est encouragée par les États-Unis pour faire désintégrer la Communauté des États Indépendants, composée de 11 sur 15 anciennes républiques soviétiques, créée le 8 décembre 1991 par le Traité de Minsk. Il est clairement établi que cette puissance soutient discrètement les mouvements séparatistes et ethno-religieux dans l’optique de briser définitivement la Communauté des États Indépendants (CEI).

C – AU PLAN STRATEGIQUE.

Dans le prolongement de la ligne de Catherine II, Poutine considère Damas comme étant le point de départ du nouvel ordre mondial. Si cette capitale tombait, la Russie perdrait définitivement son rêve de retrouver son statut de grande puissance dans le monde du temps de la guerre froide. L’inflexion des rapports serait à son désavantage, avec en plus une humiliation diplomatique.

En effet, une fois la Syrie soumise, l’Iran à son tour sera attaqué. L’axe chiite Syrie-Irak-Iran brisé sera sous la botte de l’Arabie Saoudite qui imposera la normalisation des relations avec Israël aux autres pays arabes.

Ainsi, le proche orient sera modelé géographiquement au profit exclusivement des États-Unis et d’Israël, et de leurs vassaux occidentaux et arabes. L’espace sunnite  » modéré  » dominera l’espace géographique qui s’étend du Maghreb, au Pakistan et l’Afghanistan en passant par la Turquie et la corne Africaine. La barrière séparant la Turquie des autres pays de confession musulmane sunnite n’existera plus. La Turquie, membre de l’Otan, qui constitue pour la Russie le chemin le plus court pour rejoindre les eaux chaudes, deviendrait une menace stratégique pour ce pays tant que celle-ci peut bloquer et assiéger sa flotte militaire de la mer Noire.

Ainsi, la Russie aura devant elle un espace hostile qui s’étendra alors de la France à l’ouest jusqu’à la Chine à l’est. Elle sera chassée définitivement de la région du Grand Moyen-Orient où elle était naguère fortement présente.

A la lumière de ce qui précède, nous estimons que le soutien de Moscou à Damas est indéfectible car dicté par des impératifs liés à l’existence même de la fédération de Russie en l’état actuel. Pour contrer toutes les manoeuvres de l’Occident pour la déstabiliser et la fragiliser sur la scène internationale, elle fera tout ce qu’elle peut pour que l’ordre géopolitique du Moyen-Orient ne subisse aucun changement.

Grâce au levier énergétique, elle cherche à renverser les alliances en se rapprochant de l’Europe, de la Chine, de l’Iran et de l’Inde. Elle compte créer un espace eurasien pour contrer l’hyperpuissante Américaine.

Laid SERAGHNI

Références :

1- Catherine II, impératrice de Russie (1762-1796), surnommée Catherine la grande. Elle disait « je laisse à la prospérité de juger impartialement ce que je fais pour la Russie. ». Durant le plus long règne de l’histoire de la Russie, outre le développement et la modernisation de la société russe, elle tint tête à tous les envahisseurs voisins ou lointains.

2- Le Figaro du 31 mai 2012.

3- Atlantico du 21 février 2012.

4- RIA Novosil du 27 décembre 2012.

5- Nabucco dont le titre initial est Nabuchodonosor est un opéra de Verdi. Il évoque l’épisode de l’esclavage des juifs à Babylone. Cela dénote que tout l’enjeu en Syrie est centré autour de la sécurité d’Israël.

6- Voix de la Russie 14 décembre 2012.

7- Géostratégique.net du 6 mars 2012.

8- Diplomate, politologue et historien américain dont les thèses eurent une grande influence sur la politique américaine envers l’Union Soviétique au sortie de la deuxième guerre mondiale.

9- Z Brezinski : politologue américain, il a été entre autres, conseiller à la sécurité nationale du Président des Etats-Unis Jimmy Carter, de 1979 à 1981.

10- La dépêche.fr du 20 février 2012

11- Né en 1964 en Tchétchénie, Doku Umarov fut en 2005 le cinquième président de la république d’Ichkérie (Tchétchénie). Il abolit cette dernière pour en 2007 pour la remplacer par un « Émirat Tchétchénie » dont il s’autoproclame émir.

12- affaires géostratégiques.Info du 22 octobre 2012

 

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07/10/2015 | Lien permanent

Le Joker de Poutine en Syrie – Veterans Today

Allez on s’éveille un peu aux réalités et à tout ce qui se passe derrière notre dos.

En lien avec les précédents articles, ci-dessous :

1er indice : La Russie Ordonne à Obama de parler au monde à propos des extraterrestres, ou nous le ferons

2ème indice : NSA, un scandale mondial, Snowden obtient l'asile politique en Russie

USA : Le MJ12 ou le Gouvernement Secret par William Cooper

Pour ceux qui sont ignorants des guerres qui se passent dans l’espace, le site de Veterans Today tient à jour les informations que vous trouverez par ce lien : ICI


Le Joker de Poutine en Syrie – Veterans Today
oct 23, 2015

 

« Des sources bien implantées en Russie nous ont informés que la Fédération de Russie avait signé un traité avec un certain groupe aliène extraterrestre, et il se trouve que ce dernier est en conflit de longue date avec un certain groupe qui a apparemment « conseillé et dirigé » les décideurs politiques de la mafia khazar qui leur ont servi d’agents pour prendre le contrôle du monde entier. »

 

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Par Preston James, le 14 octobre 2015

Lorsque Poutine a décidé de venir en aide à la Syrie pour résister aux assauts incessants de l’EIIL, il a mis rapidement en échec la vendetta sanglante de 1300 ans opposant la mafia khazar (RKM*) au peuple non-khazar de la Russie. Il y a un arrière-plan beaucoup plus grand dans cette affaire de confiance affichée de la défense assumée par Poutine de son allié syrien de longue date qui a appelé la Fédération de Russie à l’aide pour se défendre contre les attaques incessantes de l’EIIL, façade de la mafia khazar.

Remarque : même si certains des directeurs de Veterans Today possèdent des autorisations leur permettant d’avoir accès à des informations sur la Guerre Spatiale Secrète, aucune des informations sur ce sujet de notre article ne provient d’eux ou par eux, mais de sources extérieures indépendantes. Si vous n’êtes pas au courant des derniers développements en matière de Guerre Spatiale Secrète, vous allez probablement perdre votre temps en lisant cet article. La meilleure source d’informations facilement accessible sur le fond concernant la Guerre Spatiale Secrète et la confidentialité qui les entoure est le chercheur respecté et auteur connu Richard Dolan. Si vous avez lu ses livres, en particulier le dernier, et si vous avez regardé ses présentations sur www.youtube.com , vous aurez une assez bonne connaissance de ces sujets classés top secret. C’est un long article et ceux qui veulent avoir un résumé peuvent lire les titres et auront un assez bon aperçu.

Dans un des revirements les plus inattendus de l’histoire moderne, à la demande de son allié la Syrie, Poutine et la Fédération de Russie ont transféré des avions militaires russes en Syrie, et lancé des missiles de croisière de dernière génération sur 1600 kilomètres pour décimer rapidement plus de 40% de l’EIIL.

 

 Cette défense audacieuse et inattendue de son allié syrien de longue date, mettant échec et mat l’EIIL, est en réalité une mise en échec toute la mafia khazar et a provoqué une onde de choc à travers le monde, ce qui a plongé le Pentagone dans le désarroi le plus complet. Cela a également provoqué un choc, la consternation et la colère chez le Likoud, Netanyahou et leurs alliés de la région, au point de provoquer la débandade. Les Israéliens deviennent de plus en paranoïaques, ne cessant d’acheter des armes, et s’attendant à une invasion de toutes parts à tout moment. Le retour de bâton ne saurait tarder et tout l’enfer sur Terre que ces Likoudistes ont créé pour les Palestiniens va maintenant s’étendre à Israël.

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le Likoud

A moins de faire place nette de la mafia khazar corrompue, des infiltrés au Pentagone et de démanteler la CIA, la Sécurité intérieure (DHS) et le Système de la Banque Centrale de la Réserve Fédérale, il est probable que les Américains subiront le traitement des Palestiniens de la part de la machine terroriste israélo-américaine qui se prépare à mener une guerre interne cruciale contre le Peuple américain. Leurs plans ? Intensifier les dissensions et poursuivre sans faiblir leur quête incontestée pour transformer l’Amérique en GAZA II, le plus récent et le plus important camp de prisonniers à ciel ouvert et faire de nous leurs nouveaux Palestiniens, après bien sûr nous avoir dépouillés de tous nos biens et nous avoir transformés en serfs et en esclaves sans le sou.

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Les Israéliens ont été induits à croire que la Russie leur en veut, mais rien n’est plus faux, c’est la mafia khazar et ses dirigeants qui s’en sont pris aux Russes non-khazar depuis de nombreuses années. Les croyances paranoïaques de cela sont des « projections psychologiques », un effet sous jacent invisible permettant d’accuser les autres de ce que vous avez fait en secret mais que vous refusez d’admettre vous-même et à l’égard des autres, un mécanisme psychologique que la mafia khazar et beaucoup d’Israéliens connaissent bien  et qui les protège de la vérité à tout prix, même des conséquences qui les attendent à l’avenir.

Rien de tout cela n’est nécessaire parce que tout ce qu’ils ont à faire est d’évincer Netanyahou et les terroristes du Likoud et de poursuivre le processus de paix qui aurait dû être conclu il y a de nombreuses années déjà en restituant aux Palestiniens les territoires selon les frontières de 1947. Malheureusement les partisans de la paix en Israël ont été ignorés et marginalisés pendant des années par les faucons instrumentalisés par la mafia khazar qui sont paranoïaques à un niveau extrême et sont toujours partisans d’une stratégie de frappe préventive. Cette fois ils n’ont pas vu arriver la défense de la Syrie par Poutine et ont été complètement pris par surprise.

Ils pensaient que leurs marionnettes au Pentagone ne permettraient jamais une initiative comme celle de Poutine. Ils n’auraient pas pu se tromper encore plus, parce que le Pentagone a été dépassé lui-même par les dernières armes high-tech mises en œuvre par les Russes, et qui fonctionnent comme cela a été décrit, désarmant complètement le Pentagone.

Maintenant le Pentagone s’en prend à la CIA en les accusant d’être des incapables et la CIA s’en prend au Pentagone. Tous deux ont agi sous la coupe et la mainmise de la mafia khazar et d’Israël, aidés et encouragés par les traîtres que sont les citoyens à la double nationalité israélo-américaine partisans « d’Israël d’abord ». Et pour la première fois, grâce à l’identification des véritables auteurs du 11 septembre, on peut appeler ces gens là par leur nom (les membres du PNAC*, les dirigeants néoconservateurs et leurs complices achetés et vendus par la mafia khazar et ses sociétés-écrans en Amérique comme l’AIPAC).

*Project for a New American Century

 Il est probable que cet échec cuisant de la mafia khazar mènera à la perte de son pouvoir, à l’échec de son « Plan du Grand Israël » d’occupation de tout le Moyen-Orient et ensuite du monde entier, y compris par l’utilisation de l’OTAN pour encercler la Russie et la marginaliser.

Le résultat final de cette série de révélations et d’échecs de la mafia khazar en Syrie qui a été provoquée par cet affront inattendu de la Fédération de Russie contre la mafia khazar est susceptible d’entraîner l’effondrement total de l’Empire du Mal de la Mafia Khazar dans le monde entier.

Le dernier groupe de porte-avions américains au Moyen-Orient a été rappelé aux Etats-Unis, et cela a suffi pour en bouleverser beaucoup qui croyaient que les porte-avions américains et leur missiles de défense Aegis de dernière génération étaient invincibles et devraient rester en poste pour arrêter l’EIIL.

Mais nous savons à présent que l’EIIL est une machine terroriste de création israélo-américaine et que les porte-avions américains sont extrêmement vulnérables. Certains des meilleurs experts en armement considèrent que ces porte-avions sont des cibles faciles pour la nouvelle technologie de pointe russe* récemment utilisée, qui est capable de désactiver temporairement les circuits électriques et électroniques, y compris les systèmes radars, les sonars ainsi que les systèmes de lancement de missiles Aegis.

*fournie par l’inventeur et ingénieur nucléaire M.T. Keshe (NdT.)

La défense agressive de la Fédération de Russie de la Syrie contre l’EIIL a immédiatement mis échec et mat la machine terroriste israélo-américaine pour la première fois de l’histoire. Mais elle a également mis en lumière d’abord ceux qui ont créé, équipé et financé l’EIIS, l’EIIL, Daesh, Al Qaida et Al Nusra et assimilés.

Il est maintenant évident pour tout le monde que l’EIIL, l’EIIS, Daesh, Al Qaida et Al Nusra et assimilés ne sont rien d’autre que des mercenaires rémunérés par la machine terroriste israélo-américaine, créés de toutes pièces, conçus et mis en œuvre par un terrorisme de type Gladio*, dans le seul objectif de favoriser le projet du Nouvel Ordre Mondial de la mafia khazar des Rothschild.

*Gladio était un projet de l’OTAN de constituer des réseaux destinés à commettre des actes de terrorisme et de sabotage en cas d’invasion de l’Europe occidentale par le bloc soviétique (NdT.)

En fait, nous savons maintenant avec certitude que cette machine terroriste israélo-américaine est profondément intégrée à l’OTAN et n’est qu’une extension de l’ancienne « armée nazie restante » (« left-behind ») appelée Gladio, laquelle était destinée à constituer un rempart contre le communisme rampant, mais qui s’est transformée en agent du terrorisme international* agissant pour le compte du projet global du Nouvel Ordre mondial de la City de Londres-mafia khazar des Rothschild.

*notamment par le biais du « service action » du très secret DVD (Deutscher Verteidigunsdienst) basé à Munich, spécialisé dans les recrutements de « politiciens prometteurs » et les sabotages d’avions. (NdT.)

 La mafia khazar agit par l’intermédiaire d’agents du terrain et d’intermédiaires bien payés, sous contrôle mental, totalement compromis par du chantage. Les décideurs politiques de la mafia khazar préfèrent rester dans l’ombre mais leurs empreintes apparaissent partout où cette machine terroriste israélo-américaine de style Gladio montre son horrible tête.

 Cette machine terroriste israélo-américaine est utilisée pour déstabiliser des nations souveraines, ou pour détruire leur système bancaire indépendant de celui de la mafia khazar, indépendant de le

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27/10/2015 | Lien permanent

Ukraine : Hollande menace Poutine avec son scooter et son casque, CRIF !

Hollande sorti de l’école des ANES (ENA-ANE) qui n’est qu’un pion des lobbies sionistes qu’il affectionne tout particulièrement en favorisant la politique extérieure du CRIF, de L’US/Sioniste, et de l’UE/NAZIE qui est celle de l’état sioniste auquel il est très attaché tout comme Valls et tous ses ministres sionistes ou pro-sionistes, et dont le seul rôle ici, est celui de squatter la place de Président de la République maçonnique afin de permettre à tous ses amis de réaliser leurs plans diaboliques, dont celui de nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial= S’accaparer « La Terre promise » à leurs grands Dieux Annunakis, en s’étant au préalable accaparé la planète Terre entière et toutes ses richesses, se permet au nom des Français de menacer Poutine avec son scooter et son casque, CRIF  !

Il ferait mieux de la fermer au lieu de continuer à ridiculiser le Peuple Français auprès de l’opinion internationale ! Et surtout de penser en tout premier lieu à balayer devant sa porte en réglant l’Affaire de Mayotte pour commencer, que la France s’est annexée arbitrairement en 1976 en violation les lois internationales et contre l’avis de l’ONU une autre officine créée par les lobbies et qui ferme sa grande gueule quand l’état sioniste criminel massacre le Peuple Palestinien pour le placer dans le camp de concentration à ciel ouvert de GAZA depuis plus de 60 ans ! QUI EN PARLE ?


Mais cela selon lui ce n’est pas insoutenable, c’est NORMAL ! En revanche pour
la Crimée qui est Russe depuis 4 siècles et qui a le droit de voter en toute liberté pour son rattachement à la Russie, c’est un « crime de lèse majesté », car le seul tort de Poutine, ici, c’est celui d’être Russe, d’être contre le Nouvel Ordre Mondial, d’aimer son pays et son peuple et de vouloir les protéger de l’ingérence des néonazis qui souhaitent encore placer leurs pions aux portes de la Russie pour mieux leur permettre ensuite de l’enclaver et de l’attaquer, comme ils l’ont déjà fait en Irak, en Lybie, en Syrie, en Afrique, et ailleurs !

Il existe en effet un fossé abyssal entre :

  • un parasite sorti de l’école des ANES (ENA-ANE) qui vit sur le dos du Peuple Français depuis quelques décennies, qui fraude le fisc français en refusant de se marier pour échapper à l’ISF (impôt sur les grosses fortunes), agent de forces étrangères à la Nation, qui ne sait jouer que de sa braguette et de sa séduction de porc d’élevage, et de ses relations de réseaux occultes et de lobbies, en attendant que ses amis du lobby sioniste paie pour lui permettre de squatter la place de Président de la République maçonnique qui déteste la France et son Peuple, qui ruine le Peuple Français par le biais de guerres génocidaires incessantes et ce, au détriment des intérêts du Peuple Français et guerres faites en faveur de l’UE et de l’état sioniste. Et encore Peuple Français auquel on veut faire croire qu’il pourrait avoir conservé son autonomie et sa souveraineté alors que le précédent Dictateur, Nicolas SARKOZY de NAGÜY BOCSA, encore un agent étranger sioniste et grand ami des lobbies et de l’état sioniste d’Israël, n’a pas hésité à violer notre supposée Constitution maçonnique pour nous imposer par la force le traité liberticide de Lisbonne que les français avaient refusé par voie de référendum. C’est ce qu’ils appellent la démocratie et le droit des peuples à l’autodétermination et à décider d’eux-mêmes, et
  • un Grand Poutine, juriste de formation, qui aime son pays et son peuple, qui œuvre pour la paix en Syrie, en Iran et dans le monde, ainsi que pour relever son pays, ce qui n’est pas le cas des guignols inféodés que nous avons à la tête de l’état dictatorial dit Français…. Et encore un Poutine qui est un véritable patriote et un vrai combattant militaire qui s’est engagé pour son pays dans le renseignement secret et militaire du KGB dont il est sorti Colonel puis il entré en politique pour redresser son pays et qui est de surcroît une force active  d’intelligence de la nature.

Alors quand le minable de Hollande qui voudrait nous fait croire avec son scooter et son casque, CRIF,  qu’il gouverne la France, gouvernée par les lobbies de l’US/UE/Sionistes, qui ne fait que répondre aux ordres qui lui sont donnés par ses grands amis , maîtres  et chefs des lobbies, dont la famille Rothschild, voudrait faire peur à Poutine, l’Homme qui Préside l’un des plus grands pays du Monde ? NOUS POUFFONS DE RIRE DEVANT CE BOUFFON INFEODE ET VASSAL DES LOBBIES QU’IL AFFECTIONNE !

Comme ils sont tous friands de sexualité débridée dans cette caste criminelle, sans doute auraient-ils aussi l’intention de Sodomiser Poutine et la Russie après avoir Sodomisé les Peuples du Monde et notamment les peuples Européens en leur imposant leur dictature de l’Europe et de l’EURO au profit des BANKSTERS INTERNATIONAUX qui financent les guerres génocidaires et l’idéologie religieuse d’instauration de leur Nouvel Ordre Mondial ?

Ukraine : Hollande sermonne Poutine

Le Point.fr - Publié le 12/03/2014 à 16:20 - Modifié le 12/03/2014 à 17:17

Le président de la République a averti mercredi son homologue russe qu'un rattachement de la Crimée à la Russie serait "une annexion inacceptable".

François Hollande et Vladimir Poutine lors de leur conférence de presse commune, en février 2013, à Moscou.

François Hollande et Vladimir Poutine lors de leur conférence de presse commune, en février 2013, à Moscou. © Alexsey Druginyn / AFP

Par Thomas Mahler

Le président français François Hollande a averti mercredi son homologue russe Vladimir Poutine qu'un rattachement de la Crimée à la Russie serait "une annexion inacceptable", a indiqué l'Élysée dans un communiqué. Lors d'un entretien téléphonique, François Hollande "a demandé au président Poutine de tout faire pour éviter un rattachement de la Crimée à la Russie, qui serait une annexion inacceptable pour la communauté internationale", selon ce communiqué.

À quatre jours du référendum prévu dimanche par les autorités séparatistes pro-russes de Crimée sur le rattachement de cette péninsule à la Russie, il a souligné que cette consultation, "dont les préparatifs se poursuivent dans la plus complète opacité, n'a aucune base légale". François Hollande a également fait valoir qu'il était "encore temps d'éviter une escalade inutile et dangereuse". Au même moment, les dirigeants occidentaux du G7 ont demandé à Moscou de faire machine arrière et de ne pas soutenir l'organisation de ce référendum qui n'aurait, selon eux, "aucune valeur juridique".

Le président François Hollande a rappelé à son homologue les paramètres d'"une sortie de crise" : le respect de "la souveraineté et de l'intégrité territoriale de l'Ukraine" et le retrait des troupes déployées, l'organisation de l'élection présidentielle du 25 mai, l'adoption d'une nouvelle constitution garantissant notamment le plein respect des droits de la communauté russophone et prévoyant une réelle décentralisation dans l'intérêt de l'ensemble des régions ukrainiennes.

http://www.lepoint.fr/monde/ukraine-hollande-sermonne-pou...

 

 

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13/03/2014 | Lien permanent

[RECOMMANDÉ] Nouvel ordre mondial : de nouvelles règles ou un jeu sans règles ? par Vladimir Poutine

Quand Vladimir Poutine appelle un chat un chat !

Selon la divise des Illuminati Ordo Ob Caos, leur Nouvel Ordre Mondial doit naître du chaos planétaire qu'ils auront créé de toutes pièces avec la soi-disant crise économique et financière que les BANKSTERS auront savamment  orchestrée.

C'est donc bien leurs plans qu'ils font avancer en créant le chaos sur la Planète et notamment dans les pays arabes, Africains, d'Amérique Latine et européens riches en pétrole en gaz ou en hydocarbures car toutes les richesses doivent appartenir aux 13 familles Illuminati qui doivent gouverner le monde et réduire l'humanité à l'esclavage en créant l'Unique Gouvernement Mondial dont la base sera celle d'instaurer au  préalable l'Unique religion Mondiale.

Aussi, ces 13 familles diaboliques n'ont pas intérêt à mettre les énergies libres à la disposition de l'humanité, et  qu'elles cachent volontairement depuis près de 70 ans, Nicolas Tesla en ayant fait les frais en son temps avec sa théorie de l'Univers électrique, 

[RECOMMANDÉ] Nouvel ordre mondial : de nouvelles règles ou un jeu sans règles ? par Vladimir Poutine

28 oct 2014
 
Allez, je continue la propagande :)

Ça me fait rire tous les gens scandalisés par la diffusion des discours russes – cela me rappelle souvent les discours nationalistes qui ont conduit à 1914.

Comme si donner de l’information pouvait être nuisible – à chacun de les lire avec recul et esprit critique…

Vladimir Poutine a pris part à la dernière séance plénière de la XIe session du Club International de Discussion Valdaï. Le thème de la réunion était : L’ordre mondial : de nouvelles règles ou un jeu sans règles ?

Cette année, 108 experts, historiens et analystes politiques originaires de 25 pays, dont 62 participants étrangers, ont pris part aux travaux du Club.

La réunion plénière a présenté une synthèse des travaux du Club au cours des trois journées précédentes, qui ont été consacrées à l’analyse des facteurs d’érosion du système actuel des institutions et des normes du droit international.

Discours du Président Vladimir Poutine durant la dernière séance plénière de la XIe session du Club Valdaï 

Retranscription :

Chers collègues, Mesdames et Messieurs, chers amis,

C’est un plaisir de vous accueillir à la XIe réunion du Club Valdaï.

Il a déjà été mentionné que le Club a de nouveaux co-organisateurs cette année. Ils comprennent des organisations non gouvernementales russes, des groupes d’experts et de grandes universités. Il a également été suggéré d’élargir les discussions à des questions qui ne sont pas seulement liées à la Russie elle-même, mais aussi à la politique et à l’économie mondiales.

J’espère que ces changements dans l’organisation et le contenu des sessions renforceront l’influence du Club en tant que forum de discussion et d’experts de premier plan. Dans le même temps, j’espère que « l’esprit de Valdaï » sera conservé – cette atmosphère libre et ouverte, cette opportunité d’exprimer toutes sortes d’opinions très différentes et franches.

Permettez-moi de dire à cet égard que je ne vais pas vous décevoir et que je vais parler directement et franchement. Certains de mes propos pourront sembler un peu trop rudes, mais si nous ne parlons pas directement et honnêtement de ce que nous pensons vraiment, alors il est absolument inutile de tenir de telles réunions. Il serait préférable, dans ce cas, de se contenter des rencontres diplomatiques, où personne ne dit rien qui ait une véritable portée et, reprenant les paroles d’un célèbre diplomate, où vous vous rendez compte que les diplomates ont une langue faite pour ne pas dire la vérité.

 

Nous nous réunissons pour d’autres raisons. Nous nous réunissons pour nous parler franchement. Nous avons besoin d’être directs et francs aujourd’hui, non pas pour s’envoyer des piques, mais afin de tenter de faire la lumière sur ce qui se passe dans le monde, d’essayer de comprendre pourquoi le monde est de moins en moins sûr et de plus en plus imprévisible, et pourquoi les risques augmentent partout autour de nous.

Les débats d’aujourd’hui se sont tenus sous le thème : De nouvelles règles ou un jeu sans règles ? Je pense que cette formule décrit avec précision le tournant historique que nous avons atteint aujourd’hui et le choix auquel nous sommes tous confrontés. Bien sûr, il n’y a rien de nouveau dans l’idée que le monde est en train de changer très rapidement. Je sais que c’est quelque chose dont vous avez parlé durant les échanges d’aujourd’hui. Il est certainement difficile de ne pas remarquer les transformations dramatiques dans la politique mondiale et dans l’économie, dans la vie publique, dans l’industrie, l’information et les technologies sociales.

Permettez-moi de vous demander dès maintenant de me pardonner si j’en viens à répéter ce que certains des participants à la discussion ont déjà dit. C’est pratiquement inévitable. Vous avez déjà eu des discussions détaillées, mais je vais exposer mon point de vue. Il coïncidera avec le point de vue des participants sur certains points et divergera sur d’autres.

Tandis que nous analysons la situation d’aujourd’hui, n’oublions pas les leçons de l’histoire. Tout d’abord, les changements dans l’ordre mondial – et tout ce que nous voyons aujourd’hui constitue des événements de cette ampleur – ont généralement été accompagnés sinon par une guerre et des conflits à l’échelle mondiale, du moins par des chaînes de conflits locaux intenses. Deuxièmement, la politique mondiale est avant tout une question de leadership économique, de guerre et de paix, avec une dimension humanitaire, incluant les droits de l’homme.

Aujourd’hui, le monde est plein de contradictions. Nous devons être francs en nous demandant mutuellement si nous avons un filet de sécurité fiable et bien en place. Malheureusement, il n’y a aucune garantie et aucune certitude que le système actuel de sécurité mondiale et régionale soit en mesure de nous protéger des bouleversements. Ce système a été sérieusement affaibli, fragmenté et déformé. Les organisations internationales et régionales de coopération politique, économique, et culturelle traversent également des temps difficiles.

Oui, un grand nombre des mécanismes actuels visant à assurer l’ordre mondial ont été créés il y a très longtemps, y compris et surtout dans la période suivant immédiatement la Seconde Guerre mondiale. Permettez-moi de souligner que la solidité du système créé à l’époque reposait non seulement sur l’équilibre des forces et les droits des pays vainqueurs, mais aussi sur le fait que les « pères fondateurs » de ce système se respectaient mutuellement, n’essayaient pas de mettre la pression sur les autres, mais tentaient de parvenir à des accords.

L’essentiel est que ce système doit se développer, et malgré ses diverses lacunes, il doit au moins être capable de maintenir les problèmes mondiaux actuels dans certaines limites et de réguler l’intensité de la concurrence naturelle entre les nations.

Je suis convaincu que nous ne pouvions pas prendre ce mécanisme de freins et contrepoids que nous avons construit au cours des dernières décennies, parfois avec les plus grands efforts et difficultés, et tout simplement le détruire sans rien reconstruire à sa place. Sinon, nous serions laissés sans instruments autres que la force brute.

Ce que nous devions faire était de procéder à une reconstruction rationnelle et de l’adapter aux nouvelles réalités du système des relations internationales.

Mais les Etats-Unis, s’étant eux-mêmes déclarés vainqueurs de la Guerre Froide, n’en voyaient pas le besoin. Au lieu d’établir un nouvel équilibre des forces, essentiel pour maintenir l’ordre et la stabilité, ils ont pris des mesures qui ont jeté le système dans un déséquilibre marqué et profond.

La Guerre Froide a pris fin, mais elle n’a pas pris fin avec la signature d’un traité de paix comprenant des accords clairs et transparents sur le respect des règles existantes ou la création d’un nouvel ensemble de règles et de normes. Cela a créé l’impression que les soi-disant « vainqueurs » de la Guerre Froide avaient décidé de forcer les événements et de remodeler le monde afin de satisfaire leurs propres besoins et intérêts. Lorsque le système actuel des relations internationales, le droit international et les freins et contrepoids en place faisaient obstacle à ces objectifs, ce système été déclaré sans valeur, obsolète et nécessitant une démolition immédiate.

Pardonnez l’analogie, mais c’est la façon dont les nouveaux riches se comportent quand ils se retrouvent tout à coup avec une grande fortune, dans ce cas sous la forme d’un leadership et d’une domination mondiale. Au lieu de gérer leur patrimoine intelligemment, pour leur propre bénéfice aussi bien sûr, je pense qu’ils ont commis beaucoup de folies.

Nous sommes entrés dans une période de différentes interprétations et de silences délibérés dans la politique mondiale. Le droit international a maintes fois été forcé de battre en retraite, encore et encore, par l’assaut impitoyable du nihilisme légal. L’objectivité et la justice ont été sacrifiées sur l’autel de l’opportunisme politique. Des interprétations arbitraires et des évaluations biaisées ont remplacé les normes juridiques. Dans le même temps, l’emprise complète sur les médias de masse mondiaux ont rendu possible, quand on le désirait, de présenter le blanc comme noir et le noir comme blanc.

Dans une situation où vous aviez la domination d’un pays et de ses alliés, ou plutôt de ses satellites, la recherche de solutions globales s’est souvent transformée en une tentative d’imposer ses propres recettes universelles. Les ambitions de ce groupe sont devenues si grandes qu’ils ont commencé à présenter les politiques qu’ils concoctaient dans leurs corridors du pouvoir comme le point de vue de l’ensemble de la communauté internationale. Mais ce n’est pas le cas.

La notion même de « souveraineté nationale » est devenue une valeur relative pour la plupart des pays. En essence, ce qui était proposé était cette formule : plus la loyauté de tel ou tel régime en place envers le seul centre de pouvoir dans le monde est grande, plus grande sera sa légitimité.

Nous aurons une discussion libre après mon propos et je serai heureux de répondre à vos questions et je tiens également à utiliser mon droit à vous poser des questions. Que personne n’hésite à essayer de réfuter les arguments que je viens d’exposer lors de la discussion à venir.

Les mesures prises contre ceux qui refusent de se soumettre sont bien connues et ont été essayées et testées de nombreuses fois. Elles comprennent l’usage de la force, la pression économique et la propagande, l’ingérence dans les affaires intérieures, et les appels à une sorte de légitimité « supra-légale » lorsqu’ils ont besoin de justifier une intervention illégale dans tel ou tel conflit ou de renverser des régimes qui dérangent. Dernièrement, nous avons de plus en plus de preuves que le chantage pur et simple a également été utilisé en ce qui concerne un certain nombre de dirigeants. Ce n’est pas pour rien que « Big Brother » dépense des milliards de dollars pour tenir sous surveillance le monde entier, y compris ses propres alliés les plus proches.

Demandons-nous à quel point nous sommes à l’aise avec tout cela, à quel point nous sommes en sécurité, combien nous sommes heureux de vivre dans ce monde, à quel degré de justice et de rationalité il est parvenu. Peut-être n’avons-nous pas de véritables raisons de nous inquiéter, de discuter et de poser des questions embarrassantes ? Peut-être que la position exceptionnelle des États-Unis et la façon dont ils mènent leur leadership est vraiment une bénédiction pour nous tous, et que leur ingérence dans les événements du monde entier apporte la paix, la prospérité, le progrès, la croissance et la démocratie, et nous devrions peut-être seulement nous détendre et profiter de tout cela ?

Permettez-moi de dire que ce n’est pas le cas, absolument pas le cas.

Un diktat unilatéral et le fait d’imposer ses propres modèles aux autres produisent le résultat inverse. Au lieu de régler les conflits, cela conduit à leur escalade ; à la place d’États souverains et stables, nous voyons la propagation croissante du chaos ; et à la place de la démocratie, il y a un soutien pour un public très douteux allant de néo-fascistes avoués à des islamistes radicaux.

Pourquoi soutiennent-ils de tels individus ? Ils le font parce qu’ils décident de les utiliser comme instruments dans la voie de la réalisation de leurs objectifs, mais ensuite, ils se brûlent les doigts et font marche arrière. Je ne cesse jamais d’être étonné par la façon dont nos partenaires ne cessent de marcher sur le même râteau, comme on dit ici en Russie, c’est-à-dire de faire les mêmes erreurs encore et encore.

Ils ont jadis parrainé des mouvements islamistes extrémistes pour combattre l’Union soviétique. Ces groupes se sont formés au combat et aguerris en Afghanistan, et ont plus tard donné naissance aux Talibans et à Al-Qaïda. L’Occident les a sinon soutenus, du moins a fermé les yeux sur cela, et, je dirais, a fourni des informations et un soutien politique et financier à l’invasion de la Russie et des pays de la région d’Asie centrale par les terroristes internationaux (nous ne l’avons pas oublié). C’est seulement après que des attaques terroristes horribles aient été commises sur le sol américain lui-même que les États-Unis ont pris conscience de la menace collective du terrorisme. Permettez-moi de vous rappeler que nous avons été le premier pays à soutenir le peuple américain à l’époque, le premier à réagir comme des amis et partenaires après la terrible tragédie du 11 Septembre.

Au cours de mes conversations avec les dirigeants américains et européens, je parlais toujours de la nécessité de lutter ensemble contre le terrorisme, de le considérer comme un défi à l’échelle mondiale. Nous ne pouvons pas nous résigner et accepter cette menace, nous ne pouvons pas la couper en morceaux séparés à l’aide du deux poids deux mesures. Nos partenaires ont exprimé leur accord, mais après quelques temps, nous nous sommes retrouvés au point de départ. Ce fut d’abord l’opération militaire en Irak, puis en Libye, qui a été poussée au bord du gouffre. Pourquoi la Libye a-t-elle été réduite à cette situation ? Aujourd’hui, c’est un pays en danger de démantèlement et qui est devenu un terrain d’entraînement pour les terroristes.

Seule la détermination et la sagesse de la direction égyptienne actuelle a sauvé ce pays arabe clé du chaos et de l’emprise des terroristes. En Syrie, comme par le passé, les États-Unis et leurs alliés ont commencé à financer et armer directement les rebelles et leur ont permis de remplir leurs rangs de mercenaires provenant de divers pays. Permettez-moi de vous demander où ces rebelles obtiennent leur argent, leurs armes et leurs spécialistes militaires ? D’où tout cela vient-il ? Comment l’Etat Islamique notoire a-t-il réussi à devenir un groupe aussi puissant, de fait une véritable force armée ?

Quant aux sources de financement, aujourd’hui, l’argent ne vient plus seulement de la drogue, dont la production a augmenté non pas de quelques points de pourcentage mais dans des proportions considérables depuis que les forces de la coalition internationale sont intervenues en Afghanistan. Vous êtes au courant de cela. Les terroristes obtiennent également de l’argent en vendant du pétrole. Le pétrole est produit dans le territoire contrôlé par les terroristes, qui le vendent à des prix de dumping, le produisent et le transportent. Mais d’autres achètent ce pétrole, le revendent, et font du profit, sans penser au fait qu’ils financent ainsi les terroristes qui pourraient venir tôt ou tard sur leur propre sol et semer la destruction dans leur propre pays.

Où trouvent-ils les nouvelles recrues ? En Irak, après que Saddam Hussein ait été renversé, les institutions de l’État, y compris l’armée, ont été laissés en ruines. Nous avons dit, à l’époque, soyez très, très prudents. Vous mettez les gens à la rue, et que vont-ils y faire ? N’oubliez pas que légitimement ou non, ils faisaient partie de la direction d’une grande puissance régionale, et en quoi est-ce que vous les transformez maintenant ?

Quel fut le résultat ? Des dizaines de milliers de soldats, d’officiers et d’anciens militants du parti Baas se sont retrouvé à la rue et ont aujourd’hui rejoint les rangs des rebelles. Peut-être cela explique-t-il pourquoi l’Etat islamique s’est avéré si efficace. En termes militaires, il agit très efficacement et il a certains cadres très compétents. La Russie a mis en garde à plusieurs reprises sur les dangers des actions militaires unilatérales, des interventions dans les affaires des Etats souverains, et des flirts avec les extrémistes et les radicaux. Nous avons insisté pour que les groupes luttant contre le gouvernement syrien central, surtout l’Etat islamique, soient inscrits sur les listes des organisations terroristes. Mais avons-nous vu le moindre résultat ? Nous avons lancé des appels en vain.

Nous avons parfois l’impression que nos collègues et amis sont constamment aux prises avec les conséquences de leurs propres politiques, et qu’ils dépensent tous leurs efforts dans le traitement des risques qu’ils ont eux-mêmes créés, en payant un prix de plus en plus élevé.

Chers collègues,

Cette période de domination unipolaire a démontré de manière convaincante que le fait d’avoir un seul centre de pouvoir ne rend pas les processus mondiaux plus faciles à gérer. Au contraire, ce type de construction instable a montré son incapacité à lutter contre les menaces réelles telles que les conflits régionaux, le terrorisme, le trafic de drogue, le fanatisme religieux, le chauvinisme et le néo-nazisme. Dans le même temps, il a ouvert une large voie aux fiertés nationales exacerbées, à la manipulation de l’opinion publique et à la brutalisation et à l’oppression des faibles par les forts.

Essentiellement, le monde unipolaire est tout simplement un moyen de justifier la dictature sur les individus et les nations. Le monde unipolaire s’est avéré un fardeau trop rude, trop lourd et trop ingérable même pour son chef auto-proclamé. Des commentaires ont été faits dans ce sens juste avant mon intervention, et je suis entièrement d’accord avec eux. Voilà pourquoi nous voyons, en cette nouvelle étape de l’histoire, des tentatives de recréer un semblant de monde quasi-bipolaire en tant que modèle commode pour perpétuer le leadership américain. Peu importe qui prend la place du centre du mal dans la propagande américaine, peu importe qui remplace l’ex-l’URSS en tant que principal adversaire. Cela pourrait être l’Iran, en tant que pays qui cherche à acquérir la technologie nucléaire, la Chine, en tant que plus grande économie mondiale, ou la Russie, en tant que superpuissance nucléaire.

Aujourd’hui, nous assistons à de nouveaux efforts pour fragmenter le monde, dessiner de nouvelles lignes de clivage, réunir des coalitions qui ne sont pas façonnées pour quelque chose mais dirigées contre quelqu’un, qui que ce soit, pour créer l’image d’un ennemi comme ce fut le cas pendant les années de Guerre Froide, et s’emparer du droit à ce leadership, ou diktat si vous préférez. La situation était présentée de cette façon au cours de la Guerre Froide. Nous savons tous cela et nous le comprenons bien. Les Etats-Unis ont toujours dit à leurs alliés : « Nous avons un ennemi commun, un ennemi terrible, le centre du mal, et nous vous protégeons, vous nos alliés, de c

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28/10/2014 | Lien permanent

Interview intégrale du Président Poutine par TF1

Interview intégrale du Président Poutine par TF1

Interview intégrale du Président Poutine par TF1

 

Le 11 octobre, alors que le président Hollande, avec toute l’élégance de son rang et de son niveau, claironne alentour qu’il ne souhaite pas recevoir le Président Poutine, ce dernier accorde une interview à un journaliste de TF1. Cette interview bizarrement nous ne pouvons la trouver sur le site de la chaine française, ni à fortiori vérifier et préciser le nom de l’intervieweur. Il est vrai que ce n’est pas le moment pour les occidentaux de donner place aux points de vue russes…

Cette interview a évidemment eu une résonance minimale dans la presse française et plus largement européenne, alors que Poutine y précise des aspects très importants des évènements en cours. Et nous devons le souligner, avec un tact, une précision, et un vocabulaire extrêmement mesuré. Ceci alors que les hauts représentants du monde occidental ne renoncent ni aux excès de langage, ni à la grossièreté. Sans parler du non-respect des normes et convenances diplomatiques les plus élémentaires.

RI choisit ici de vous traduite le texte intégral de cette interview, sur base du texte officiel mis en ligne sur le site de la présidence russe http://www.kremlin.ru/events/president/news/53081

Mufasa

***

Interview du Président Poutine par la chaîne de télévision française TF1 le 11 octobre 2016.

Président Poutine: Mais comment êtes-vous arrivé ici [i]? Nous nous trouvons dans une toute petite ville de province. Maintenant partout où nous venons en Russie, dans n’importe quel village nous trouvons des Français. Mais c’est très bien comme ça, cela nous fait bien plaisir.

Question TF1 : Monsieur le Président pouvez-vous nous expliquer pourquoi vous n’avez pas fait ce voyage à Paris ?

Président Poutine : C’est très simple,  il était supposé que nous allions solennellement inaugurer un centre récemment construit à Paris, un centre culturel et une cathédrale russes, mais nous avons pu observer que ce n’était pas le moment opportun pour un évènement de ce type.  D’autant moins si l’on considère notre incompréhension mutuelle sur ce qui se passe en Syrie et plus précisément autour de la ville d’Alep. Mais sinon nous sommes évidemment toujours ouverts  à ce que nous puissions nous consulter et dialoguer sur ce thème.

Question TF1: mais c’est exactement ce que voulaient les Français, utiliser le contexte de votre visite pour discuter de la situation en Syrie. Tandis que vous c’est pour cette même raison que vous renoncez à la visite.

Président Poutine: Mais sachez que nous n’avons pas réellement refusé, on nous a fait savoir que  la cause principale,  à savoir l’ouverture de ce centre culturel et religieux, n’est pas appropriée. Mais si la raison principale de mon déplacement à Paris n’est pas appropriée, alors nous trouverons certainement une autre possibilité qui soit plus appropriée pour discuter de la situation en Syrie.  Nous n’avons aucune limite à ce sujet nous sommes ouverts au dialogue.

Simplement on nous a fait savoir que ce n’est pas le moment le plus confortable pour de telles manifestations et puis c’est tout. Quant à nous, nous n’avons rien refusé.

Question TF1: De nombreux représentants officiels occidentaux parmi lesquels John Kerry, Jean-Marc Ayrault, même François Hollande, utilisent une rhétorique dure envers la Russie à propos des bombardements à Alep, sous lesquels tombent des cibles civiles, telles que des hôpitaux. Certains même recourent à l’expression « crimes de guerre ». Que pouvez-vous dire à ce sujet?

Président Poutine: Je dirais que c’est une rhétorique politique qui n’a pas grand sens ni ne tient compte de la réalité de ce qui se passe dans ce pays. Et je dirai maintenant pourquoi. Je suis intimement convaincu que dans la situation qui s’est instaurée dans la région dans son ensemble et en Syrie en particulier la responsabilité incombe à tous nos partenaires occidentaux, et en premier lieu évidemment les États-Unis d’Amérique et leurs alliés, dont évidemment les pays leaders de l’Europe.

Rappelons-nous avec quel engouement tous là-bas soutenaient la révolution arabe. Où est-il ce bel optimisme ? Par quoi cela s’est-il terminé ? Souvenons-nous ce que représentaient la Libye et l’Irak avant la destruction de leurs états, de leurs gouvernements. Qui ont été anéantis  par les diverses forces armées de nos partenaires occidentaux.

Ce n’étaient pas bien sûr des modèles de démocratie tels que cela se comprend aujourd’hui. Certainement on pouvait influer sur les structures de ces sociétés, les structures de ces gouvernements et de ces pouvoirs. Par les forces autochtones. Mais dans tous les cas il n’y avait précisément pas de signes avant-coureurs de terrorisme dans ces pays. De ces territoires ne partaient pas de menaces, ni pour Paris, ni pour la Côte-d’Azur en France, ni pour la Belgique, la Russie ou pour les États-Unis d’Amérique.

Actuellement ce sont des sources de terrorisme. Et notre but consiste exactement à éviter qu’en Syrie ne se développe une telle situation.

J’anticipe votre question à propos des réfugiés. Je suppose que vous voulez en parler ? Même si ce n’est pas le cas je vais aborder cette question. Souvenons-nous que les problèmes des réfugiés sont apparus bien avant que la Russie n’entreprenne ses actions pour la normalisation et la stabilisation de la situation en Syrie. L’exode massif de personnes de ces énormes territoires du Moyen-Orient, de l’Afrique et de l’Afghanistan, a commencé bien avant notre intervention en Syrie. Aucun reproche à la Russie à propos de l’augmentation du problème des réfugiés n’est acceptable. Notre but justement est de restaurer les conditions pour le retour des réfugiés sur leur lieu d’existence antérieure.

Maintenant à propos de la situation humanitaire autour d’Alep. Pensez-vous que nous avons oublié comment les forces aériennes des États-Unis ont bombardé un hôpital en Afghanistan, au cours duquel ont péri des collaborateurs de l’organisation Médecins sans frontières? Ou bombardé des fêtes de mariages où jusqu’à 100 personnes ont péri en Afghanistan, puis maintenant au Yémen ce qui vient de se passer, lorsque, avec une seule bombe, 170 personnes ont été tuées, 500 blessées lors d’une cérémonie funéraire.

Quoi qu’il en soit, partout où se déroulent des conflits armés, bien malheureusement meurent et souffrent des gens qui n’y sont pour rien. Mais nous ne pouvons permettre aux terroristes de se protéger derrière des civils qu’ils utilisent comme des boucliers humains, et nous ne pouvons permettre qu’ils fassent chanter le monde entier lorsqu’ils ont pris quelqu’un en otage, le tuent et le décapitent. Si nous voulons mener cette guerre à son terme avec les terroristes, il faut alors se battre contre eux, mais ne pas aller vers eux en s’inclinant, et se retirer à reculons.

Question TF1 : Monsieur le Président le fait est que les Français ne comprennent pas pourquoi vous faites subir des bombardements à ceux que vous appelez des terroristes. Nous avons été attaqués par l’EI,  qui ne se trouve pas dans Alep. C’est cela que les Français ne comprennent pas.

Président Poutine: Je vais vous expliquer. À Alep la situation est contrôlée par une autre organisation terroriste qui s’appelle Jabhat al Nusra. Elle a toujours été considérée comme une aile d’Al-Qaïda et figure dans la liste des organisations terroristes établie par l’ONU.

Ce qui choque et nous étonne c’est le fait que nos partenaires, et plus précisément américains, d’une façon ou d’une autre tentent sans cesse de sortir le dialogue sur le terrorisme de ses limites propres. Et je vais vous dire pourquoi. Il me semble que nos partenaires systématiquement et constamment reviennent sur les mêmes travers, ils veulent utiliser le potentiel militaire de ces organisations terroristes et radicales pour accomplir leurs buts politiques ; et dans ce cas pour combattre le président Assad et son gouvernement, ne comprenant pas que plus tard ils ne réussiront pas à mettre ces terroristes de côté, dans un coin, et les contraindre à vivre selon les lois et le droit civilisés, s’ils arrivaient à vaincre quelqu’un.

Nous avons à de multiples reprises convenu avec les Américains qu’ils procéderont à la séparation de l’organisation Jabhat al Nosra et de ses semblables des autres organisations que l’on appelle modérées de l’opposition, dont celles qui sont à Alep. Et les Américains ont convenu avec nous  que cela doit être fait. Je dirais même plus, nous avons convenu  de certains délais, mais mois après mois, rien n’a été fait.

Nous avons tout récemment convenu de ce que nous annoncerions le jour du cessez-le-feu  – le jour J comme disent les Américains-.  J’avais insisté pour que, auparavant, ils résolvent le problème de la séparation de Jabhat al Nosra et des autres organisations terroristes de ce que l’on appelle l’opposition modérée. Et que, alors seulement, soit annoncé le cesser le feu.

Mais les Américains insistèrent au contraire pour que l’on annonce d’abord un cessez-le-feu et seulement ensuite soit accomplie cette séparation entre terroristes et non terroristes. Finalement nous avons été à leur rencontre et nous avons accepté cela. Et c’est ainsi que le 12 septembre fut  annoncé le cessez-le-feu  et la cessation des activités militaires.  Mais le 16 septembre l’aviation américaine a bombardé les forces syriennes[ii] occasionnant la mort de 80 militaires syriens.

Au même moment, immédiatement après les bombardements, l’État islamique -et ici on parle bien de l’État islamique-, a entrepris une attaque terrestre sur la zone qui venait d’être bombardée. Nos collègues américains nous ont dit que ce bombardement était une erreur. Mais cette erreur a conduit à la mort de 80 personnes. C’est la première chose. Et la deuxième chose, c’est que c’est peut-être aussi par hasard que Daech est passé à l’offensive tout de suite après ces frappes.

Alors, simultanément, à un niveau inférieur, opérationnel, un des responsables militaires américains annonce très directement qu’ils avaient préparé pendant plusieurs jours cette attaque aérienne. Comment pouvaient-ils se tromper s’ils ont consacré plusieurs jours à la préparation?

Ainsi furent rompus nos accord sur un cesser le feu. Qui les a rompus ? Nous ? Non.

Question TF1: on parle du retour possible à la guerre froide mais il y a d’autre part un américain auquel vous plaisez, c’est Donald Trump. Comment le considérer vous? Est-ce qu’il vous plaît ?

Président Poutine: Écoutez, tout le monde nous plaît, l’Amérique est un grand pays, les Américains un grand peuple, intéressant, sympathique et talentueux. C’est une grande nation. Qui ils vont élire nous verrons, et c’est avec celui-ci ou celle-là que nous travaillerons. Bien sûr il est plus commode de travailler avec ceux qui souhaitent travailler avec nous.  Si Trump veut travailler avec la Russie alors on peut  seulement le saluer, mais il faut seulement que cette collaboration soit sincèrement équitable et mutuelle.

Mais, voyez-vous,  revenons au problème de Alep. Nous parlons de ce qu’il est indispensable de mener des convois humanitaires.  Tout le monde tente de nous convaincre de la nécessité de le faire.  Mais il ne faut pas nous convaincre, nous sommes du même avis, nous pensons qu’il est nécessaire d’organiser des convois humanitaires. Mais comment le faire ? Il n’y a qu’une seule route, par laquelle doit passer le convoi, d’un côté de la route il y a les combattants  rebelles et de l’autre il y a des régiments de l’armée arabe syrienne.  Nous avons connaissance des provocations et de tirs sur l’une de ces colonnes, et nous savons  par quel groupe terroriste ces tirs ont été provoqués.

Nous disons: Convenons d’évacuer les troupes rebelles d’un côté de la route, et l’armée régulière syrienne de l’autre côté de la route. Et nous libérons ainsi le passage et sécurisons cette route pour les convois humanitaires.

Tout le monde est d’accord avec nous et même plus, cela est consigné dans certains documents. Et puis, plus rien ne se passe, personne n’agit du côté de nos partenaires. Soit ils ne veulent pas retirer les troupes rebelles soit ils ne peuvent pas le faire, je ne le sais pas.

Ensuite arrive une proposition exotique. Je vais maintenant vous étonner, vous et vos téléspectateurs. Il nous a été proposé de placer nos forces armées -de l’armée russe- de part et d’autre de cette route. Et d’en assurer la sécurité. Nos militaires, qui sont des gens courageux et déterminés, sont venus me voir et m’ont dit : bien, on peut le faire nous sommes prêts.

J’ai dit non. Si nous le faisons, nous ferons avec les Américains, proposez-le leur. Nous avons proposé et les Américains ont immédiatement refusé : monter au front, ils ne veulent pas. Retirer les troupes rebelles, ils ne veulent pas non plus. Que fait-on dans cette situation ?

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16/10/2016 | Lien permanent

Europe : Rockefeller avait tout prévu ! Laurent LOUIS (Debout Les Belges)

Publiée le 15 mars 2014

Discours accablant du député belge Laurent LOUIS contre l'Europe et le mécanisme européen de stabilité (MES) dans lequel il compare l'Union européenne à l'Allemagne nazie d'Hitler et dénonce pour la toute première fois dans un Parlement européen le projet de la famille Rockefeller dont l'UE et le Traité transatlantique, devant conduire à l'établissement du nouvel ordre mondial, en sont de parfaits produits.

Un discours choc qui ne pourra que vous convaincre de la nécessité de sortir de l'Union européenne actuelle qui ne sert en rien les intérêts des peuples.

Adhérez au mouvement Debout Les Belges, c'est gratuit ! http://www.deboutlesbelges.be

Europe : Rockefeller avait tout prévu !
Laurent LOUIS (Debout Les Belges)

https://www.youtube.com/watch?v=ENdahj4zVfQ#t=27

 

 

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19/03/2014 | Lien permanent

La nuisance de l'universalisme philanthropique américain et la Fondation Rockefeller

La nuisance de l'universalisme philanthropique américain 

Jean Valmont-Decker - Publié il y a 20 jours

« La Fondation Rockefeller a admis avoir financé et développé des vaccins anti-fertilité destinés à une "distribution à grande échelle". Alors que le programme de dépopulation par Soft-kill s'accélère, il semble d'autant plus pertinent de réafficher ces articles en un seul. » 

Connaître le passé, c’est comprendre le présent et deviner le futur. Nous reprenons ici, un article paru dans « 4thmedia.org - 10 juin 2010 » accusant la Fondation Rockefeller d’être à l’origine de programmes visant à une « dépopulation » à l’échelle mondiale. Dans ces abjectes opérations du passé, nous retrouvons les mêmes acteurs qui participent aujourd’hui à la dictature sanitaire où le citoyen non conforme est condamné à la radiation sociale. Le point commun entre le passé et le présent est la similitude des méthodes employées, dont les principaux objectifs sont la servitude, l’appauvrissement et la dépopulation pour un meilleur contrôle des individus. La démocratie, vantée par l’ensemble des puissances, n’est qu’un leurre pour domestiquer les peuples. Le texte qui suit est certes long, mais il apporte un éclairage sur les intentions cachées derrière la pandémie courante !   À qui profite le crime ?

 

 A propos de la dictature sanitaire 

 

Jacques Attali dévoile le plan macabre de dictature sanitaire plus de 40 ans à l'avance 1979

https://www.youtube.com/watch?v=M1V89HkCfm8...

 

1- La Fondation Rockefeller a développé des vaccins pour la réduction de la fertilité à "grande échelle

Dans son rapport annuel de 1968, la Fondation Rockefeller a reconnu avoir financé le développement de vaccins dits "anti-fertilité" et leur mise en œuvre à grande échelle. À partir de la page 51, on peut lire : "(...) plusieurs types de médicaments sont connus pour diminuer la fertilité masculine, mais ceux qui ont été testés posent de sérieux problèmes de toxicité. Très peu de travaux sont en cours sur les méthodes immunologiques, comme les vaccins, pour réduire la fertilité, et beaucoup plus de recherches sont nécessaires si l'on veut trouver une solution ici."

Selon la Fondation Rockefeller, la possibilité d'utiliser des vaccins pour réduire la fertilité masculine doit être étudiée plus avant, car la pilule orale et le stérilet ne sont pas adaptés à une distribution à grande échelle : "Nous sommes confrontés au danger que, d'ici quelques années, ces deux méthodes "modernes", pour lesquelles on a nourri de si grands espoirs, se révèlent en fait impraticables à grande échelle."

"Un implant sous-cutané semi-permanent ou renouvelable de ces hormones a été suggéré, mais on n'a pas déterminé si les mêmes difficultés en résulteraient. Affirmant que les recherches menées jusqu'à présent étaient de trop faible qualité pour produire des résultats substantiels, le rapport est catégorique : "La Fondation s'efforcera d'aider à combler cette importante lacune de plusieurs manières :

  1. "Rechercher ou encourager le développement et fournir un soutien partiel à quelques centres d'excellence dans les universités et les institutions de recherche aux Etats-Unis et à l'étranger dans lesquels les méthodes et les points de vue de la biologie moléculaire sont associés aux approches plus traditionnelles de l'histologie, de l'embryologie et de l'endocrinologie dans la recherche pertinente pour le développement de méthodes de contrôle de la fertilité ;"
  2. "Soutenir la recherche de chercheurs individuels, orientée vers le développement de méthodes contraceptives ou d'informations de base sur la reproduction humaine pertinentes pour de tels développements ;"
  3. "Encourager, en mettant à disposition des fonds de recherche, ainsi que par d'autres moyens, les chercheurs établis et débutants à s'intéresser aux aspects de la recherche en biologie de la reproduction qui ont des implications pour la fertilité humaine et son contrôle ;"
  4. "Encourager davantage d'étudiants en biologie et en biochimie à choisir des carrières dans le domaine de la biologie de la reproduction et du contrôle de la fertilité humaine, en soutenant les programmes de recherche et d'enseignement dans les départements de zoologie, de biologie et de biochimie."

La liste est longue. La motivation de ces activités, selon le RF (Fondation Rockefeller)!

"On estime à cinq millions le nombre de femmes parmi les groupes de pauvreté et de quasi-pauvreté en Amérique qui ont besoin d'un service de contrôle des naissances (...). La fécondité incontrôlée des indigents fait beaucoup pour perpétuer la pauvreté, la sous-éducation et le sous-emploi, non seulement dans les bidonvilles urbains, mais aussi dans les zones rurales déprimées."

Dans son rapport annuel de 1988, la RF était heureuse de faire état des progrès réalisés par la division Population de la Fondation dans le domaine des vaccins anti-fertilité :

"L'Institut national d'immunologie de l'Inde a achevé en 1988 la première phase d'essais avec trois versions d'un vaccin anti-fertilité pour les femmes. Parrainés par le gouvernement indien et soutenus par la Fondation, les essais ont établi qu'avec chacun des vaccins testés, on pouvait s'attendre à une protection d'au moins un an contre la grossesse, sur la base des niveaux d'anticorps formés en réponse au programme d'immunisation."

Dans son étude de 1997 sur les vaccins anti-fertilité, le Centre international pour le génie génétique et la biotechnologie, basé en Inde, n'a pas oublié de reconnaître son principal bienfaiteur : "Le travail sur les vaccins LHRH et HCG a été soutenu par des subventions de recherche de la Fondation Rockefeller, (...)".

Dans les années 1990, les travaux sur les vaccins anti-fécondité sont passés à la vitesse supérieure, notamment dans les pays du tiers-monde, tout comme le financement assuré par les poches profondes de la Fondation Rockefeller. Dans le même temps, la population cible des mondialistes - les femmes - a commencé à se sentir mal à l'aise avec toutes ces discussions ouvertes sur la réduction de la population et les vaccins comme moyen d'y parvenir.

Betsy Hartman, directrice du programme de population et de développement au Hampshire College, dans le Massachusetts, et "quelqu'un qui croit fermement au droit des femmes à un contrôle des naissances et à un avortement sûrs et volontaires", n'est pas une partisane du vaccin anti-fertilité, tel qu'il a été mis au point par la Fondation Rockefeller. Elle explique dans son essai Population control in the new world order : "Bien qu'un vaccin n'ait été testé que sur 180 femmes en Inde, il y est présenté comme 'sûr, dépourvu de tout effet secondaire et complètement réversible'. La communauté scientifique sait très bien que de telles affirmations sont fausses - par exemple, de nombreuses questions subsistent quant à l'impact à long terme du vaccin sur le système immunitaire et le cycle menstruel. Il existe également des preuves filmées montrant que des femmes se sont vu refuser des informations sur le vaccin lors des essais cliniques. Néanmoins, le vaccin est en cours de préparation pour une utilisation à grande échelle."

Le Réseau mondial des femmes pour les droits reproductifs basé à Amsterdam, aux Pays-Bas,a cité "un éminent chercheur en contraception qui a déclaré : "Les méthodes immunologiques de contrôle des naissances seront une 'arme antigénique' contre le processus de reproduction, qui, s'il n'est pas contrôlé, menace d'envahir le monde."

La militante des droits des animaux ms. Sonya Ghosh a également exprimé ses inquiétudes concernant le vaccin anti-fertilité financé par Rockefeller et sa mise en œuvre : "Au lieu de donner aux femmes individuelles plus d'options pour prévenir la grossesse et se protéger contre le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles, le vaccin anti-fécondité est conçu pour être facilement administré à un grand nombre de femmes en utilisant le moins de ressources possible. S'il est administré à des populations analphabètes, les questions du contrôle de l'utilisateur et du consentement éclairé sont d'autant plus préoccupantes."

Pour éviter de tels débats, la Fondation a, au cours des deux dernières décennies, eu recours à des méthodes très efficaces et pratiquées de longue date, consistant à mentir ouvertement ou à utiliser un langage trompeur pour cacher le fait qu'elle continue à travailler sans relâche à la réalisation de sa mission déclarée de longue date.

 

2- Distribution mondiale du vaccin anti-fécondité financé par la Fondation Rockefeller, coordonnée par l'OMS

Outre le récent document exclusif de PrisonPlanet intitulé Rockefeller Foundation Developed Vaccines For "Mass-Scale" Fertility Reduction - qui décrit les efforts déployés par la Fondation Rockefeller dans les années 1960 pour financer la recherche sur les soi-disant "vaccins anti-fertilité" - une autre série de documents a fait surface, prouvant sans l'ombre d'un doute que le Fonds des Nations Unies pour la population, la Banque mondiale et l'Organisation mondiale de la santé s'en sont emparés et l'ont développé sous la responsabilité d'un "Groupe de travail sur les vaccins pour la régulation de la fertilité".

Quatre ans seulement après que la Fondation Rockefeller a lancé des opérations de financement massif de vaccins contre la stérilité, le groupe de travail a été créé sous les auspices de l'Organisation Mondiale de la Santé, de la Banque mondiale et du Fonds des Nations unies pour la population (ONU). Sa mission, selon l'un de ses membres, est de soutenir : "la recherche fondamentale et clinique sur le développement de vaccins anticonceptionnels dirigés contre les gamètes ou l'embryon préimplantatoire. Ces études ont nécessité l'utilisation de procédures avancées dans la chimie des peptides, la technologie des hybridomes et la génétique moléculaire, ainsi que l'évaluation d'un certain nombre de nouvelles approches en vaccinologie générale. Grâce à cet effort de collaboration internationale, un prototype de vaccin anti-HCG fait actuellement l'objet de tests cliniques, ce qui permet d'envisager la mise à disposition d'une méthode de planification familiale totalement nouvelle avant la fin de la décennie en cours.

En ce qui concerne l'étendue de la juridiction du groupe d'étude, le Biotechnology and Development Monitor a rapporté : "La Task Force fait office d'organe de coordination mondial pour la R&D sur les vaccins anti-fertilité dans les différents groupes de travail et soutient la recherche sur différentes approches, telles que les vaccins anti-sperme et anti-ovale et les vaccins conçus pour neutraliser les fonctions biologiques de la hCG. Le groupe de travail a réussi à développer un prototype de vaccin anti-hCG".

L'un des membres du groupe de travail, P.D. Griffin, a décrit le but et la trajectoire de ces vaccins régulateurs de fertilité. Griffin : "Le groupe spécial a continué à coordonner ses activités de recherche avec d'autres programmes de développement de vaccins au sein de l'OMS et avec d'autres programmes internationaux et nationaux engagés dans le développement de vaccins régulateurs de la fertilité."

Griffin a également admis le fait que l'un des objectifs des vaccins est leur mise en œuvre dans les pays en développement. Griffin : "Si l'on pouvait mettre au point des vaccins capables d'inhiber la fertilité de manière sûre et efficace, sans produire d'effets secondaires inacceptables, ils constitueraient un complément intéressant à l'arsenal actuel des méthodes de régulation de la fertilité et seraient susceptibles d'avoir un impact significatif sur les programmes de planification familiale."

De plus, l'un des avantages des FRV par rapport aux "méthodes de régulation de la fertilité actuellement disponibles", selon le groupe de travail, est le suivant (179) : "le faible coût de fabrication et la facilité d'administration au sein des services de santé existants".

Déjà en 1978, le Groupe spécial de l'OMS (alors appelé Groupe spécial sur les méthodes immunologiques de régulation de la fertilité) soulignait l'utilité de ces vaccins au regard de la possibilité de "synthèse et de fabrication à grande échelle" du vaccin : "Les avantages potentiels d'une approche immunologique de la régulation de la fertilité peuvent être résumés comme suit :

(a) la possibilité d'une administration peu fréquente, éventuellement par du personnel paramédical ;

(b) l'utilisation d'antigènes ou de fragments d'antigènes, qui ne sont pas pharmacologiquement actifs ; et (c) dans le cas d'antigènes de structure chimique connue, il existe la possibilité de synthèse et de fabrication à grande échelle du vaccin à un coût relativement faible."

En 1976, le programme élargi de recherche, de développement et de formation à la recherche de l'OMS dans le domaine de la reproduction humaine a publié un rapport dans lequel on peut lire ce qui suit : "En 1972, l'Organisation (...) a élargi son programme de recherche sur la reproduction humaine afin de fournir un point de convergence international pour un effort intensifié visant à améliorer les méthodes existantes de régulation de la fécondité, à mettre au point de nouvelles méthodes et à aider les autorités nationales à concevoir les meilleurs moyens de les fournir de façon continue. Le programme est étroitement intégré à d'autres recherches de l'OMS sur la prestation de soins de planification familiale par les services de santé, qui alimentent à leur tour le programme d'assistance technique de l'OMS aux gouvernements au niveau des services."

Bien que le terme "Vaccin anti-fécondité", 

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17/10/2021 | Lien permanent

La victoire volée du morveux de chez Rothschild

En espérant qu'un candidat aura saisi le Conseil Constitutionnel pour faire annuler le 1er tour des élections. Mais Hollande a tout prévu, puisqu'il a nommé le sioniste, Laurent Fabius à la Présidence du Conseil Constitutionnel ! 

L'élection présidentielle peut-elle être reportée ou annulée ? 

Dans les coulisses du Conseil constitutionnel, où sont validés les suffrages de la présidentielle 

 

La victoire volée du morveux de chez Rothschild 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Bruno GUIGUE

Lancé sur le marché comme une savonnette, le bébé Cadum de la finance s’installera à l’Elysée le 7 mai. Certes, Macron est vainqueur, mais il a emporté la mise au terme d’une campagne qui a pulvérisé les records de médiocrité et de partialité. Adoubé par le capital transnational, le morveux de chez Rothschild a gagné un match truqué. Si Macron a gagné dimanche, c’est parce que neuf milliardaires contrôlent la presse française, que Macron est leur candidat et que ces rapaces décident à notre place.

Durant la campagne, la fabrique du consentement a tourné à plein régime, elle a fait la “journée des trois 8” ! Des cajôleries de Bourdin aux mensonges du “Monde” en passant par la servilité des hétaïres sur le retour de Bfm/Tv, la caste journalistique a justifié ses émoluments en passant consciencieusement la serpillière pour le commis de l’oligarchie. Propulsé au firmament cathodique, le jeune banquier rompu au marketing a vendu son rêve de pacotille, proposant aux gogos, par exemple, de faire de la France une “start-up nation” où chaque Français pourrait monter sa “start-up”.

Ce prestidigitateur se fait passer pour un candidat “progressiste”, alors qu’il s’accommode de 85 milliards d’évasion fiscale tout en voulant sabrer le régime d’assurance-chômage pour faire des économies. Cet illusionniste de première bourre a même réussi à faire croire aux employés que grâce à sa potion magique ils deviendraient cadres et aux cadres qu’ils deviendraient patrons. Macron le sait. Quand on est un freluquet né avec une cuillère en argent dans la bouche, on ne mord pas la main qui vous nourrit.

Cet apôtre de l’ubérisation de l’économie et du détricotage du code du travail, cet apologiste du marché sans frontières et de la mondialisation capitaliste a gagné de justesse, le 23 avril, en se qualifiant pour le second tour. Mais s’il l’a emporté sur ses concurrents, c’est parce qu’il y avait promotion sur les ventilateurs ! Macron, c’est un courant d’air. Adepte de la pensée magique, il sermonne comme un télévangéliste, fait des moulinets avec les bras et promet des lendemains qui chantent. Macron, c’est un symptôme, celui de la dépolitisation et de la déculturation d’une société laminée par le rouleau compresseur libéral, évidée par cette calamité qu’est l’euro et déstructurée par l’individualisme made in USA.

Jouant de sa belle gueule, le gigolo de la caste a investi l’espace médiatique pour y déverser sa bouillie pour les chats. Il a recyclé les vielles lunes libérales, et les médias lui ont servi la soupe en même temps qu’à un Front national ravi de jouer les épouvantails. N’oublions pas. Le repoussoir lepéniste, c’est le faire-valoir de Macron. Le second tour de l’élection présidentielle, le 7 mai, sera une coproduction Macron/Le Pen destinée à expédier le premier à l’Elysée en étouffant toute alternative sérieuse. Et le pire, c’est que cette supercherie a été orchestrée et exécutée aux yeux de tous, comme si c’était dans l’ordre des choses.

Le Don Juan des classes moyennes boboïsées, cependant, n’aura pas la tâche facile. Car on l’attend au tournant ! A supposer qu’il obtienne une majorité de bric et de broc aux élections législatives, il va se heurter à une opposition à trois têtes qui ne lui fera pas de cadeaux. Le FN, bien sûr, à qui un tel président garantit une rente tribunicienne. La droite, qui va refaire ses forces après le retrait de Fillon. Mais aussi, et surtout, une gauche qui a changé de visage. Quand le rimmel va dégouliner, la vacuité du programme finira par se voir. Le mariage de la carpe et du lapin va rapidement lasser les gourmets. Séducteur asexué, ce mouflet qui hurle pour jouer au dur risque de subir rapidement la panne fatidique.

 

Bruno GUIGUE

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26/04/2017 | Lien permanent

Macron : Le maquereau de Rothschild à la marinade au pognon !

 

 

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28/04/2017 | Lien permanent

Allocution de Poutine : commentaires d'experts occidentaux

Hier, 17:46

Allocution de Poutine : commentaires d'experts occidentaux

Allocution de Poutine : commentaires d'experts occidentaux

Par La Voix de la Russie | L’unique voie correcte pour la Russie consiste à tenir ferme et à défendre ses principes de l’Occident, responsable de l’effusion de sang en Ukraine. C’est ainsi que les analystes occidentaux réagissent à l’allocution de Vladimir Poutine faite à la réunion des ambassadeurs au ministère russe des Affaires étrangères.

Le leader russe a dit en s’adressant aux diplomates : Kiev et Washington ne veulent pas que le monde apprenne la vérité sur ce qui se produit aujourd’hui au centre de l’Europe. Ils ne s’arrêtent devant rien : jusqu’à la chasse aux journalistes russes et étrangers. La situation en Ukraine est, selon Poutine, l’expression concentrée de la dénommée « politique de dissuasion » poursuivie à l’égard de la Russie. Le directeur du Centre analytique indépendant britannique Bruges Group Robert Oulds partage cette opinion.

« La vérité sur ce qui se produit en Ukraine est désavantageuse, en premier lieu pour l’OTAN. L’Occident a sponsorisé le Maïdan, ayant donné de multiples promesses concernant l’aménagement d’une zone de libre-échange. Or, l’intégration européenne n’était pas mentionnée. Les médias occidentaux passent ce fait sous silence. Cette politique a été appliquée plus d’une fois sur d’autres territoires. La voix indépendante de la Russie dans le monde n’arrange pas l’Amérique qui voudrait son isolement politique. »

La situation en Ukraine s’aggrave. Une telle évolution des événements n’est pas dans l’intérêt des capitales européennes qui ne le reconnaissent cependant pas, dit un expert allemand, le professeur de politologie de l’Université de Göttingen Peter Schulze.

« Kiev a déployé une opération d’envergure contre le Sud-Est de l’Ukraine ce qui n’arrange ni l’Allemagne, ni la France, ni la Pologne. L’administration russe est placée dans une situation très dangereuse. L’ultimatum adressé à la Russie par l’UE sous la pression de Washington : exercer la pression sur les mutins est la condition que Moscou ne saurait accepter. Une question s’impose : à qui profite, qui fait ce jeu ? Le refus d’accepter les initiatives de Moscou, de proroger le cessez-le-feu sont des actes dirigés contre la Russie. »

Moscou en prend parfaitement conscience. Vladimir Poutine estime que l’Europe a besoin d’un nouveau système de sécurité. Selon le président, il faut exclure la possibilité de coups d’Etat anticonstitutionnels, de l’ingérence dans les affaires intérieures des pays souverains en Europe. L’Europe a besoin d’une sorte de « grille d’assurance » pour que les précédents irakien, libyen, syrien et ukrainien ne s’avèrent pas une maladie infectieuse.
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03/07/2014 | Lien permanent

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